![Yasmin Ullah, militant des droits de l'homme, s'exprime lors d'une interview au Novotel World Forum à la Haye, pays-Bas, le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock - Alamy Yasmin Ullah, militant des droits de l'homme, s'exprime lors d'une interview au Novotel World Forum à la Haye, pays-Bas, le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock - Alamy](https://l450v.alamy.com/450vfr/2cn2tfb/yasmin-ullah-militant-des-droits-de-l-homme-s-exprime-lors-d-une-interview-au-novotel-world-forum-a-la-haye-pays-bas-le-9-decembre-2019-reuters-eva-plevier-2cn2tfb.jpg)
Yasmin Ullah, militant des droits de l'homme, s'exprime lors d'une interview au Novotel World Forum à la Haye, pays-Bas, le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock - Alamy
![Hasina Begum, une survivante de violence ethnique contre la minorité Rohingya au Myanmar, fait des gestes comme elle parle lors d'une interview à l'hôtel Crowne Plaza à la Haye, pays-Bas le 9 Hasina Begum, une survivante de violence ethnique contre la minorité Rohingya au Myanmar, fait des gestes comme elle parle lors d'une interview à l'hôtel Crowne Plaza à la Haye, pays-Bas le 9](https://c8.alamy.com/zoomsfr/6/31a7c2480d174fa9afccd287a806e865/2cn1pt5.jpg)
Hasina Begum, une survivante de violence ethnique contre la minorité Rohingya au Myanmar, fait des gestes comme elle parle lors d'une interview à l'hôtel Crowne Plaza à la Haye, pays-Bas le 9
![Yasmin Ullah, militant des droits de l'homme, s'exprime lors d'une interview au Novotel World Forum à la Haye, pays-Bas, le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock - Alamy Yasmin Ullah, militant des droits de l'homme, s'exprime lors d'une interview au Novotel World Forum à la Haye, pays-Bas, le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock - Alamy](https://c8.alamy.com/zoomsfr/9/0720c7212a444edd980f9825a8096efb/2cjmtjn.jpg)
Yasmin Ullah, militant des droits de l'homme, s'exprime lors d'une interview au Novotel World Forum à la Haye, pays-Bas, le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock - Alamy
![Hasina Begum, survivante de violence ethnique contre la minorité Rohingya au Myanmar, parle lors d'une interview à l'hôtel Crowne Plaza à la Haye, pays-Bas le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock - Hasina Begum, survivante de violence ethnique contre la minorité Rohingya au Myanmar, parle lors d'une interview à l'hôtel Crowne Plaza à la Haye, pays-Bas le 9 décembre 2019. REUTERS/Eva Plévier Photo Stock -](https://c8.alamy.com/compfr/2chwddj/hasina-begum-survivante-de-violence-ethnique-contre-la-minorite-rohingya-au-myanmar-parle-lors-d-une-interview-a-l-hotel-crowne-plaza-a-la-haye-pays-bas-le-9-decembre-2019-reuters-eva-plevier-2chwddj.jpg)